le conte, la vie, l’être vivant
événementiel, développement
instants, structure aléatoire,
forme finie, non symétrique,
au développement de formes s’imbricant sans ordre préfixé, structures de la respiration, des battements du coeur, à partir d’un être symétrique, structuré, avec une pulsation, et une respiration à régularité partielle,
se forme une structure, la vie
dépourvue de cette respiration à régularité partielle, les événements et les actions s’y déroulant de manière imprévue, non proportionnée et sans régularité,
avec quelques éléments à structure rythmique régulière, les jours et les nuits, les horaires de travail, les repas, mais sans tenir une régularité stricte, seulement des cadres extérieurs de régularité, ou des éléments intérieurs de régularité (dans le corps),
mais dans son essentiel la vie d’un être vivant est un développement découvrant, ouvert, non répétitif, se transformant, fini, non symétrique, aléatoire,
tissu ouvert, imbrications d’événements non proportionnés.
la trame, les événements
un tissu, un fil, un développement, quelque chose qui grandit, le conte, l’histoire est tissé, tissé d’éléments successifs, d’éléments souvent sans lien,
il y a une trame, une structure à la fois liée et non liée, liée par le personnage, qui est le même, reste au cours du développement,
et non liée, du fait qu’il peut intervenir à tout moment des événements, des actions sans aucun lien d’aucune sorte entre eux,
sinon le lien du personnage,