Poésie / Après un opéra: bleue ouverture
Poésie:
bleue ouverture de l’espace (c’est l’amphithéâtre, les grosses pierres en ovale, montant vers le ciel, jaune et ocre, gris clair ) tournoyement de la terre, ta place sous le ciel, . . . . .musique évoluant . . . . . . . . . . . . . dans l’espace solitude transperçante . . . . . . . . . . êtres humains tournoye espace ! ……….., …….., (avec le grand gong gris, le sonneur, . . . . . . le diseur de destin, vient par trois fois) nuages parcourant, . . . . . . . . . . . . . . . . légères petites nuances rondes, tel un véhicule spatial l’arène avance ouverte en musiques, ou comme sur le dos d’une baleine musique respiration d’une grande baleine, qui va plonger dans l’océan, . . . .avec tous ces êtres oublieux . . . . . . . . . . .de leur éphémérité ( les dames en robes de satin, les messieurs aux pantalons à carreaux évoluent entre les chaises . . . . . . . . . . rouge intense, couleurs profondes) …….. |
chant, dire de quelques êtres (c’est l’amphithéâtre, les grosses pierres en ovale, montrant le ciel, jaune brillant, comme réflétant le soleil ) tournoyement de la terre, son passage à travers l’éther dit l’être manifeste eaux transperçantes . . . . . . . . . . la baleine tressaute plus longtemps ! ……….., (avec le grand gong gris, le sonneur, . . . . . . l’ouvreur de portes, parvient, revient) nuages parcourant, . . . . . . . . . . . . . . . . animales petites nuances rondes, cet ensemble tiendra sur le sol va plonger, la baleine combat entre la terre et le ciel musique respiration d’une grande baleine, passage dans les eaux de la musique, . . . .avec tous ces êtres pénétrant . . . . . . . . . . .le lieu de l’esprit ( les dames en robes de satin, les messieurs aux pantalons à carreaux évoluent, convoluent . . . . . . . . . . couleur transparente des passages lumineux du ciel) …….. |
la baleine terrestre tressaute . . . . . . . . . . . . . . . son chant l’emporte voix . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . dans un élan irrésistible (c’est l’amphithéâtre, les pâles pierres en ovale, montrant le ciel, aune sept acres, grises chair ) le nuage rejoint, la baleine tressaute plus longtemps . . . . .comme en un grand fracas . . . . . . . . . . . . . le grand mouvement de sa queue va plonger . . . . . . . . . . tressaute humain le ciel ! ……….., ..respire……, (avec le grand gong gris, le sonneur, . . . . . . la parole grise, parvient, luis, brille) respire l’espace bleu, . . . . . . . . . . . . . . . . des airs ouvert à tous les possibles, passage dans les eaux de l’esprit dessin tendre doux, du ciel passant et l’envol musique . . . . . . . .l’envol, ciel et musique, identité absolue ( les dames en robes de satin, les messieurs aux pantalons à carreaux dévoluent les dessous des nuages . . . . . . . . . . blanc intense, loup coeur immense) …….. ………………………………………………………………………………………………………….. fin Daniel Thomas, Vérone, 13 juin 2001
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